Vice caché automobile : quels sont vos recours ?
Nombreux sont ceux qui achètent un jour un véhicule automobile afin de faciliter leurs déplacements professionnels ou personnels.
Cet achat important peut malheureusement être à l'origine de mauvaises surprises.
Tel est notamment le cas lorsque le véhicule acheté présente des défauts ou désordres que l’on ignorait au moment de l’achat.
A ce titre, nombreux sont les récits d’acheteurs qui se retrouvent « impuissants » face à la défectuosité de leur véhicule.
Heureusement, des règles protectrices existent et l’acheteur d’un véhicule n’est pas sans recours.
Cet article porte sur la garantie légale des vices cachés laquelle s’applique lors d’un achat automobile.
A titre d’illustration, un acheteur fait l’acquisition d’un véhicule dont le vendeur indiquait qu'il était en bonne marche, tout semblait en ordre, celui-ci roule quelques mètres puis se rends compte que le véhicule ralentit jusqu’à ne plus démarrer : que peut faire l’acheteur ? Un autre cas typique est celui de l’acheteur d’un véhicule présentant un kilométrage dont il s'aperçoit qu'il a été falsifié.
Cette situation fâcheuse pour l'acheteur peut donner lieu à divers recours notamment celui fondé sur la garantie légale des vices cachés.
Mais quelles sont les conditions du « vice caché » ? Quels recours sont possibles ?
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